Française
21-Feb-2010 -- After a very nice long weekend ski-walking and snow-shoeing around Gerardmer (pron. 'Jzer-are-may', not 'Jzer-arm-air', as Catherine is fond of pointing out to Parisians...) in the mountains of the lovely Vosges, not to mention the hearty farmhouse dinners of Catherine's parents, we got underway with the long drive back to Lille. Our route (on the A31) would take us past 49N 6E.
At the village of Bayonville-sur-Mad, we followed a rough track up the hill, until it wasn't practical to go any further, and then trudged off into the woods. The light was already fading by this time, and we made peace with the fact that this would have to be a night-time visit. Regardless, the forest was pleasant enough, although we fretted ourselves a little bit about the prospects of meeting a hungry (or angry) wild boar on the path, as it looked like a likely looking environment for them. After briefly following a forest trail, we then took a fairly direct, trail-less route, which took us through a number of dense, scratchy areas.
By the time we happened on the point, it was dark, but not so dark that we couldn't see the nice road a few metres to the North and East that we could easily have driven had we known about it... c'est la vie... The CP itself is in this wooded area, so getting 'all zeros' on the GPS proved not to be possible, alas.
We then trotted back to the Landy, still worrying about the boars charging at us from behind the bushes, before carrying on with our drive back to Lille.
Française
Après un très sympathique week-end passé sur les skis de fond et les raquettes aux alentours de Gérardmer (prononcer 'gérarmé' et non pas 'gérarmère', comme Catherine aime bien à faire remarquer aux Parisiens...) et des beaux sommets Vosgiens, sans oublier de mentionner les repas roboratifs chez les parents de Catherine, nous voilà sur le chemin (l'A31...) du retour à Lille, qui nous nous amène à proximité du point 49N 6E.
Arrivés au village de Bayonville-sur-Mad, nous suivons un petit chemin qui monte vers les bois, et continons jusqu'à ce que la route nous stoppe. Nous nous enfonçons alors à pied dans le bois. La lumière était déjà assez faible à cette heure, et nous nous préparons au fait que cette visite sera nocturne. Pour autant, la forêt était plaisante, bien que nous frissonnions un peu à l'idée de faire une rencontre impromptue avec un sanglier affamé (ou aigri), le terrain labouré nous laissant penser qu'ils sont assez nombreux dans le coin. Après avoir suivi une piste forestière, nous coupons au plus court à travers bois, bien que les buissons freinent la progression et nous égratignent un peu les mollets.
Lorsque nous arrivons au point, la nuit est presque tombée, mais nous parvenons encore à voir un beau chemin de grève quelques mètres vers le Nord et l'Est, que nous aurions pu emprunter aisément avec la voiture si nous avions eu connaissance de son existence... such is life.... Le point de confluence en lui-même est situé dans le bois, de sorte que la réception nous empêche d'obtenir les coordonnées GPS exactes (avec tous les zéros), hélas.
Nous retournons ensuite au pas de course jusqu'à la voiture, pressés par la tombée du jour et encore un peu frissonnants à l'idée du cochon sauvage déboulant de derrière un buisson; puis continuons notre itinéraire vers Lille.